Avant de s'endormir
Elle lui dit dans un soupir
Embrasse-moi
L'étoile s'illumina
Dans la nuit, pensa-t-elle, y a personne de vraiment seul.
Elle lui dit dans un soupir
Embrasse-moi
L'étoile s'illumina
Dans la nuit, pensa-t-elle, y a personne de vraiment seul.
Arlène, pour de vrai, cette fois xxxxx
Il prit son oreiller
Le serra à l'en faire saigner
Et se noya pour s'en laver
Arlène, lisant
J'ai voulu me faire montagne jusqu'à ce que je découvre combien luxuriante était la colline que j'étais.
Arlène
Bon, c'est faite
Elle a appelé ses guides
Dans le couloir de son intimité
Leur a suggéré de placer c'te truc
Vous savez
Qui vous fait saliver
Certains parviennent même à en léviter
S'ils réussissent à ne pas l'éviter
C't'insignifiance sans importance
Mais qui fait passer de belles et douces soirées...
Du moins, à ce que l'on dit
Pour d'autres, c'est comme pas assuré
C'est relatif
Paraît qu'il faut connaître la chimie
Et encore là, c'est joué !
Encore mon définitif
Comment on appelle ça, déjà?
C'qui rend les plus rationnels complètement gaga
(Pensez-vous que finalement, à bien y penser
Sa demande, elle devrait retirer? On sait pas.. des fois...)
Comment on épelle ça, déjà?
Ah ! Pis j'sais pas
Ou j'sais plus
N'empêche que c'est faite
Pis que j'lui ai suggéré qu'elle se fasse un thé
Et qu'elle regarde la télé
Un livre pas loin...
Les plus beaux mystères sont ceux que l'on prend
Chaleureusement, amoureusement
Le temps déchiffrer.
Arlène, comme ça.
Elle a appelé ses guides
Dans le couloir de son intimité
Leur a suggéré de placer c'te truc
Vous savez
Qui vous fait saliver
Certains parviennent même à en léviter
S'ils réussissent à ne pas l'éviter
C't'insignifiance sans importance
Mais qui fait passer de belles et douces soirées...
Du moins, à ce que l'on dit
Pour d'autres, c'est comme pas assuré
C'est relatif
Paraît qu'il faut connaître la chimie
Et encore là, c'est joué !
Encore mon définitif
Comment on appelle ça, déjà?
C'qui rend les plus rationnels complètement gaga
(Pensez-vous que finalement, à bien y penser
Sa demande, elle devrait retirer? On sait pas.. des fois...)
Comment on épelle ça, déjà?
Ah ! Pis j'sais pas
Ou j'sais plus
N'empêche que c'est faite
Pis que j'lui ai suggéré qu'elle se fasse un thé
Et qu'elle regarde la télé
Un livre pas loin...
Les plus beaux mystères sont ceux que l'on prend
Chaleureusement, amoureusement
Le temps déchiffrer.
Arlène, comme ça.
APOLOGIE
Ton amour, en effet, je quémande,
Dans mon repère candide et maladroit.
Où mes délices soudains se transcendent,
Mes instincts consentis se déploient.
...
Loge tes fesses sur mon nombril,
Laisse tes cheveux effleurer mon visage.
Agence ton charme à mon corps abruti,
Et consomme cet aléa sans régalage.
Propage ton effluve sur mes carences,
Instruis mes fautes sur ton corps sans âge.
Mute mes impairs en insignes expériences.
Adjoins mes vils jalons à tes voltages.
Tes yeux m’étanchent et me paralysent,
Par ton corps qui m’engourdi et m'interpelle.
Ta sublimité m’envoûte et m’exorcise,
Où mes émois s’entendent et se querellent.
Aborde-moi en en probe et en indocile
Arbore une adaptées parures en peaux.
Viens consoler de ta volupté, mon domicile,
En bref, rends mes prochains jours plus beaux.
Steve Fosse
(Toute reproduction, représentation ou diffusion, est interdites sans le consentement de l'auteur)
MERCI!
Ici - Suivez Steve Fosse
Dans mon repère candide et maladroit.
Où mes délices soudains se transcendent,
Mes instincts consentis se déploient.
...
Loge tes fesses sur mon nombril,
Laisse tes cheveux effleurer mon visage.
Agence ton charme à mon corps abruti,
Et consomme cet aléa sans régalage.
Propage ton effluve sur mes carences,
Instruis mes fautes sur ton corps sans âge.
Mute mes impairs en insignes expériences.
Adjoins mes vils jalons à tes voltages.
Tes yeux m’étanchent et me paralysent,
Par ton corps qui m’engourdi et m'interpelle.
Ta sublimité m’envoûte et m’exorcise,
Où mes émois s’entendent et se querellent.
Aborde-moi en en probe et en indocile
Arbore une adaptées parures en peaux.
Viens consoler de ta volupté, mon domicile,
En bref, rends mes prochains jours plus beaux.
Steve Fosse
(Toute reproduction, représentation ou diffusion, est interdites sans le consentement de l'auteur)
MERCI!
Ici - Suivez Steve Fosse
Et tes yeux m'envahissent, je ne peux que rêver.
Ton âme grise me saoule d'heures exquises.
Et je m'envole de nuage en mouton azuré larguant l'amarre de mes vagues à l'âme.
Tu me réchauffes et ton être tout entier fait vibrer ma corde vitale : Toi
Et tu composes les gammes d'une musique éternelle au touché de soie. Tu me dévores, ta peau embrasse mes derniers doutes et, enchantement divin, tu me fais devenir : Moi
Toi et moi dans les herbes des cigales, toi et moi sous le voile de l'évidence.
Tu gardes mes nuits devenues clairement sereines
Et le fil de ton étoile tisse mon ciel.
Eric ALIX 29/08/2014.
Ton âme grise me saoule d'heures exquises.
Et je m'envole de nuage en mouton azuré larguant l'amarre de mes vagues à l'âme.
Tu me réchauffes et ton être tout entier fait vibrer ma corde vitale : Toi
Et tu composes les gammes d'une musique éternelle au touché de soie. Tu me dévores, ta peau embrasse mes derniers doutes et, enchantement divin, tu me fais devenir : Moi
Toi et moi dans les herbes des cigales, toi et moi sous le voile de l'évidence.
Tu gardes mes nuits devenues clairement sereines
Et le fil de ton étoile tisse mon ciel.
Eric ALIX 29/08/2014.
Copyright tous droits réservés
aux auteurs: Arène - Éric et Steeve
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