Bonjour!
Mon
nom est Benoît Fréchette. J’ai 35 ans. J’ai terminé mes études universitaires
en marketing en avril 2014. Je suis à la recherche d’un premier emploi dans le
domaine du marketing et des communications.
J’ai l’opportunité de vous parler de mes démarches. Qui sait? Peut-être
aurais-je une offre d’emploi?
Habituellement,
un étudiant qui fait son stage dans un organisme ou une entreprise, est engagé
par la suite, dit-on. Ce que j’ai remarqué dans mes offres de stages, beaucoup
d’organismes et d’entreprises veulent des étudiants en marketing, mais ne les
engagent pas par la suite. Pour compenser, beaucoup offrent un salaire. Les
seuls (rares) endroits où l’entreprise (ou l’organisme) engageait, étaient dans
des lieux très isolés de l’université du genre Rimouski ou La Croche. Bref, j’ai trouvé un endroit de stage où j’ai
eu un salaire, mais dont on ne m’engageait pas.
Cela fait
depuis janvier 2014 que je recherche un emploi en administration, mais plus
intensivement depuis le mois de mai 2014. N’ayant pas décroché d’entrevue, je
me suis fait aidé par Emploi-Québec qui m’a envoyé vers un organisme d’aide à
l’emploi. L’organisme en question m’aide à cibler mes stratégies de recherche
d’emploi. Bref voilà un petit résumé.
Cette
semaine, je suis démoralisé. Rien ne va comme je veux. Je viens de perdre (encore) un « emploi » dont
j’espérais. Il faut dire que depuis ma recherche, je me suis rendu compte que
la sélection du personnel, c’est du n’importe quoi. Je vais vous donner
quelques raisons que j’ai su qui a fait que j’ai été écarté de plusieurs
emplois potentiels :
·
« Pour
l’emploi en marketing que nous offrons, nous ne vous avons pas choisi parce que
vous avez une formation en marketing qui est peu pertinente. »
·
« Nous
n’avons pas retenu votre candidature, parce que vous ne correspondez pas au
profil que nous voulons (lire : vous n’êtes pas de la ville, on ne vous
prend pas). »
·
« Vous
n’avez pas d’expériences en marketing, on ne vous prend pas. »
Ce sont majoritairement les raisons qui reviennent, à
part la première. Je trouvais cela très
fort de ne pas me choisir pour un poste en marketing, à cause de ma formation.
C’est cela qui m’a fait dire que la sélection du personnel, c’est du n’importe
quoi… N’importe quelle raison est bonne pour se débarrasser d’une personne.
Heureusement que je n’ai pas encore eu : « On ne vous prend pas
parce que vous avez un chandail vert… »
Comme je le disais plus haut, cette semaine, j’étais démoralisé.
La recherche d’emploi ne me disait rien. Je venais d’écrire mon xe courriel de
suivi à un organisme et dont je n’ai eu aucune réponse. Par téléphone, la ligne
de cet organisme est toujours occupée. Démoralisant. Pour ce qui est des autres
« emplois », rien non plus. J’ai beau me dire que je vais avoir un
emploi en marketing et en communication en 2014, rien ne se passe. Il me manque
ce « boost », cette motivation pour repartir la machine. Je sais que
je dois écrire un courriel à tel personne, pour un emploi. Je n’ai pas la
motivation de le faire.
Heureusement que ma rencontre de cette semaine chez
l’organisme d’aide à l’emploi, m’a donné une certaine motivation à continuer
mes recherches. La dame de l’organisme m’a aidé à faire mon dossier sur le site
internet d’Emploi-Québec. Je n’y crois pas trop, mais on ne sait jamais. Elle
m’a parlé de l’IMT qui permet de cibler davantage les emplois sur le site
d’Emploi-Québec. C’est cela qui m’a donné une certaine énergie pour repartir.
Elle m’a parlé du site internet d’Isarta, que je connais et plusieurs autres.
Bref, avec la section IMT sur le site d’Emploi-Québec, cela
m’aide à cibler les emplois. Cela m’a redonné le goût de postuler. À la semaine prochaine.
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